jeudi 21 juillet 2016

Tout peut changer en un instant

Jeudi 21 juillet


"Tout peut changer en un instant," c'est ce qui me vient à l'esprit ce soir. 

En fait, je reviens d'un rdv chez un confrère et j'ai fait du bon travail avec lui. Parce que, bien que pour cette problématique, j'avais besoin d'un confrère (et d'un regard extérieur), et qu'il m'a bien guidé, et j'étais actrice et volontaire aux changements.

Il faut parfois savoir demander de l'aide. Ce n'est pas parce que j'accompagne les autres à trouver leur joie intérieure et leur lumière, que quelque fois je n'ai pas, moi aussi, besoin d'un petit coup de pouce.

D'ailleurs, fait révélateur, à peine arrivé chez moi alors que j'ouvrais la porte de mon garage pour y rentrer ma voiture, j'ai pris le balai et me suis mise à enlever toute la poussière accumulée sur le sol en ciment. De la poussière, des feuilles, bref, "j'ai mis tout cela dehors" ! Ce qui est très symbolique pour moi. 

Je suis heureuse d'avoir fait cela pour moi et je suis sûre que ce travail va apporter de grands changements dans ma vie. 

Je dois aussi préciser que ma voiture a moins de blocages depuis quelques jours, et qu'en rentrant chez moi tout s'est bien passé.  Et là aussi je suis en mode "gratitude".

Mes guides, merci pour cet enseignement, et déjà que je vous appelle, je sens que vous vous manifestez plus présent encore, prêts à m'expliquer ce qu'il y a a comprendre :






"Comment comprendre les choses qui ont du sens pour toi, et sans aucun sens pour les autres... ? 

Je t'explique, que le sens que tu mets dans les choses est ton histoire et chacun trouvera son propre sens. 

Il n'y a pas de "bon sens" non plus, parce que le bon sens pour les uns sera facultatif et erroné pour d'autres. 

Non, ce qui doit apparaître à ton esprit de tout cela est que tu es maître de ton histoire, de ta version des choses et de l'importance que tu en donnes. Peu importe le regard des uns et des autres, ce n'est qu'un regard, une idée, une opinion. Moi, mon opinion n'a aucune importance parce que je te connais au-delà de tes entrailles. 

Oui, il y a des pas "près à bondir" et des pas très lents. Il y a des pas dans tous les cas, et c'est cela qui importe. 

Tu as l'impression d'avoir fait un grand pas ce soir, je te dirai que tu as seulement fait le pas que tu t'étais autorisée à faire. Et tout le sens et la joie que tu y mets est une valeur commémorative parce qu'elle va te porter encore plus loin. Épurée... Oui tu en avais besoin. 

Va, les choses sont prêtes, comme toi..."

Les Guides"






dimanche 17 juillet 2016

INTRODUCTION



L'envol

Cette semaine a été une semaine chargée en émotions. 

Lundi, notre amie Flavie est rapatriée de Marseille à Toulon où elle était hospitalisée depuis trois semaines. Nous pouvons donc profiter de ses derniers instants et l'accompagner plus facilement.

Mardi, mon garage est cambriolé, cela me secoue et me contrarie. Toute la journée, je suis tendue comme un arc et à la fin de la journée, je termine épuisée et dans un sentiment d'insécurité et de mise à nu.

Mercredi, nous constatons que notre amie est maintenue sous calmants et ne se réveillera plus.

Jeudi, nous sommes présents à ses cotés, juste présents.

Ma voiture recommence à faire des siennes, le volant se bloque constamment, j'envisage la réparation c'est entre autre la colonne de direction qui, je le sais déjà, va me coûter une fortune soit 1500 €. Je prends le message pour moi, et fais en sorte de débloquer mes fonctionnements personnels, même si je sais que je n'échapperai pas à la réparation pour autant. Quoi que... Les miracles ça existe j'en ai déjà vécu quelques uns...

Et voilà, que Nice subit un terrible attentat. 

Vendredi, Flavie s'envole dans le soir, tranquillement en ayant choisi de partir sans que nous soyons à ses cotés. Mais à l'écoute, nous avons pu faire en sorte que sa famille puisse partager ses derniers instants. 

Mes guides avaient raison : ils m'avaient prévenu en ce sens le 12 juillet : "3 jours d'envol, sois heureuse pour elle". 

Samedi, je commence à ranger mon garage qui est dans un état de triste saccage. Tout a été sorti des armoires, et renversé sur le sol, et le vélo de mon fils a été volé. 

J'en profite pour faire un méga-tri et je jette beaucoup de choses. D'abord difficilement à la vue de tout ces souvenirs, et puis je me souviens que mon guide m'a suggéré de faire ce tri dans le pardon et l'amour. Cela allège mon ouvrage et je remplis une pleine poubelle de libération. 

Nous sommes Dimanche. 

Hier j'ai publié un texte sur le blog et ma page Facebook intitulé : "Je vous en prie, commencez par vous ! ", et ce matin je me sens poussée à écrire tout un ouvrage à ce sujet. J'y passe la journée entrecoupée de pauses film, ou cuisine. 

Finalement, en fin d'après-midi je sens qu'il faut que j'aille m'aérer et je décide d'aller marcher sur le port. Il fait encore chaud, la promenade est agréable et me conduit chez Monalisait où je me promène entre les livres d'occasions dans la boutique. Bien que je n'avais pas l'intention d'acheter quelque chose, mon regard capte le livre de Lilou Macé, que je me met à feuilleter sans arriver à m'en détacher : "Je n'ai pas de job et ça me plait". Je possède déjà son livre, "je n'ai pas d'argent et ça me plaît" et de l'avoir lu m'avait bien fait avancer. Je replonge dans son énergie contagieuse. Je pense que ce n'est pas un hasard que je tombe sur l'unique exemplaire, que je finis par acheter. Je me fais plaisir. Je décide que ce livre m'entraînera comme le précédent à faire bouger ma vie. Je le sens. 

D'ailleurs mon livre à la main, sur le chemin du retour, je décide de créer ce blog qui sera une version internet du livre que j'ai déjà écrit "Journal d'une messagère". Ce que contiendra le blog ne sera pas dans le livre, du moins c'est ainsi que je le conçois. Et j'espère qu'il apportera à chacun des réponses et des clés pour avancer sur son chemin de vie. 

Voilà mes guides, qu'avez-vous à me dire pour clore cette introduction ?


"Oui Françoise, tu as envie de bouger et de faire bouger ta vie. Cela est le moment et tu verras que ce blog n'en restera pas à l'état d'essai comme tu le conçois aujourd'hui. Laisse-toi guider, les portes magnifiques s'ouvrent, comme toi d'ailleurs, 



Amour,

les Guides"